• Voilà la fin de mon armée Ottomane avec quelques unité de cavalerie. La règle "Tercios" permet de représenter les Delilers, les Sipahis et les Akincis (tout en permettant de les décliner suivant les options choisies) :

    Sipahis :

    Fin des Ottomans pour Tercios

    Fin des Ottomans pour Tercios

     

     

     

    Les Serhat Kulu (ou cavaliers irréguliers )sont composés des Deliler (cavalerie légère des Balkans), des Gönüllü (bénévoles), des Besli, des tîmârlı sipahi (cavalerie noble), des akıncılar (éclaireurs montés).

    Akinci et Deliler :

    Fin des Ottomans pour Tercios

    Le statut des sipahis ressemblait à celui des chevaliers de l'Europe médiévale. Un sipahi était un propriétaire d'un fief (tîmâr), d'où leur nom alternatif tîmârlı sipahi ou timariotes. Comme dans les fiefs européens, il pouvait récolter les revenus issus de sa terre en échange de ses services en temps de guerre. Les paysans du fief étaient ses sujets. Le tîmâr était la plus petite unité de terre que pouvait obtenir un sipahi (directement de la part du sultan à la suite d'une conquête militaire).

    Suivant le grade, le sipahi officier devait fournir un certain nombre de soldats . Un tîmâr sipahi devait fournir plus de cinq soldats à l'armée du sultan, un ziamet sipahi était tenu d'envoyer jusqu'à vingt soldats et un has sipahi plus de vingt. En temps de paix, les sipahis étaient responsable de la perception des impôts pour le sultan.

    Un officier :

    Fin des Ottomans pour Tercios

    Ils ne doivent pas être confondus avec les sipahis de la Porte, le corps de cavalerie professionnelle de l'armée composé essentiellement d'esclaves (Kapikulu aussi représenté dans la règle). Ils n'avaient que peu de points communs, les timariotes (tîmârlı sipahi) étant ce qu'on peut apparenter à des nobles, si ce n'est leur appellation commune sous le terme sipahis.

    Une force légère de cavaliers professionnels appelés les akıncılars (« faiseurs de raid ») précédait le gros de l'armée sur les territoires à conquérir. Faisant office d'éclaireurs et de force d'intervention rapide, ils ne touchaient pas de solde et se rémunéraient par les pillages et razzias. (wikipédia)


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  • Je ne me suis pas encore décidé pour un nouveau projet et donc pas encore essayé les nouveaux tarifs post-Brexit...

    Donc, pour le moment, je peints les restes de figurines que j'avais commandés pour les projets antérieurs, ce qui bien sûr, fait diminuer la montagne de plomb. C'est aussi valorisant de voir gonfler ces débuts d'amées.

    De plus, dans ce cas-ci, j'estime qu'une armée ottomane de cette époque, si elle veut se targuer d'être "invulnincible"sarcastic, doit être au moins imposante en  nombre.

    C'est pourquoi, à côté des Janissaires déjà peints, je vais ajouter un régiments de mercenaires "Sekbans" :

    Les Sekbans étaient des mercenaires d'origine paysanne de l' Empire ottoman .  Le terme sekban se référait initialement aux unités militaires irrégulières , en particulier celles sans armes à feu, mais en fin de compte il en est venu à désigner toute armée en dehors de l'armée régulière.  Les sekbans n'étaient pas seulement fidèles à l'État ottoman, mais ils pouvaient devenir fidèles à quiconque leur versait un salaire suffisant.eek

    Ottomans 10mm pour la règle "Tercios".

    Ces troupes étaient maintenues en augmentant un impôt appelé "sekban aqçesi" . Ils ont été recrutés en si grand nombre qu'ils sont devenus la composante la plus nombreuse des armées impériales. L'utilisation de ces troupes a finalement conduit à de graves conséquences: par exemple, la fin des hostilités, comme dans la guerre contre la Perse en 1590 et la guerre contre l'Autriche en 1606, a vu un grand nombre de sekbans sans emploi ni moyens de subsistance.  En conséquence, beaucoup de ces soldats se sont tournés vers le brigandage et la révolte, et ils ont pillé une grande partie de l' Anatolie entre 1596 et 1610.

    Les rivalités entre les janissaires et les sekbans aboutirent aussi à des rébellions qui se sont poursuivies tout au long des 17° et 18ème siècle. (wikipedia)

    Voilà mon interprétation avec les figurines pendraken :

    Ottomans 10mm pour la règle "Tercios".

    Ottomans 10mm pour la règle "Tercios".

    Ottomans 10mm pour la règle "Tercios".

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Je me suis fait aussi un p'tit plaisir avec un camp ottoman où deux officiers semblent attendre l'estafette qui arrive au galop alors que deux janissaires emportent la bouffe vers leurs compagnies. Sans doute des boulettes-frites sauce aux tomane...he Ok, c'est nul... 

    Ottomans 10mm pour la règle "Tercios".

    Ottomans 10mm pour la règle "Tercios".


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  • Fin juillet, nous nous sommes retrouvés à quelques membres du forum chez Lotharius afin de se refaire une partie de Tercios.

    Basée sur la bataille du St Gothard de 1664, cette foire d'empoigne a vu l'armée ottomane remarquablement résister à l'endurance et à la combativité d'une armée européenne.

    Tercio : Ottomans pas si faibles...

    Lotharius commandait les "allemands" de l'aile droite et du centre de cette armée.

    Tercio : Ottomans pas si faibles...

     

    et Mig supervisait la partie française située à l'aile droite.

    Tercio : Ottomans pas si faibles...

    Tercio : Ottomans pas si faibles...

    Pour ma part, seul au commande des turcs, je devais essayer de déborder une des deux ailes pour revendiquer encore un peu plus de territoire de cette vieille Europe...happy

    Tercio : Ottomans pas si faibles...

    Mon aile droite regroupant l'ensemble de la cavalerie ottomane s'est d'abord ruée sur les français de Mig (et sans préparation d'artillerie)

    Tercio : Ottomans pas si faibles...

    Ce fut assez difficile pour ces nobles cavaliers car les régiments d'infanterie française tinrent remarquablement le choc des Sipahis et autres Timariots...

    Tercio : Ottomans pas si faibles...

    Pendant ce temps, l'artillerie ottomane ouvrait un feu d'enfer pour entamer le centre ennemi :

    Tercio : Ottomans pas si faibles...

    Lotharius décida de touner l'aile gauche turque avec ses cuirassiers :

    Tercio : Ottomans pas si faibles...

    Mais les ottomans ne faiblirent pas et tinrent longtemps la dragée haute à la cavalerie autrichienne :

    Tercio : Ottomans pas si faibles...

    Tercio : Ottomans pas si faibles...

    Malgré l'échec de sa cavalerie, le parti ottoman tient jusque la nuit (bien aidé par des jets de dés calamiteux de notre ami Lotharius.

    J'avoue que je suis assez fier du comportement de mes troupes et je pense déjà à une ou deux tactiques plus appropriées pour mes différentes unités.

     

     


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  • Quelques unités supplémentaires d'ottomans pour compléter ma liste d'armée :

    Akincis

    On arrive presque au bout...

    Azapes

    On arrive presque au bout...

    On arrive presque au bout...

    On arrive presque au bout...

    J'ai recyclé mon timbalier pour avoir un commandant supplémentaire.


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  • Voici mon schéma d'armée ottomane en mode 1500 pts pour la règle "Tercios" :

    Ottomans pour Tercios : configuration 1500pts

    Ottomans pour Tercios : configuration 1500pts


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  • Je continue à peindre pour cette armé, ayant l'ambition de la faire tourner aurour de 1500pts.

    De plus, comme une campagne avec la règle "Tercios" se profile à l'horizon, il faut être prêt!

    Une unité de Sipahis que je jouerai sans doute en "Elite" directement sous le CinC

    Ottomans 10 mm (suite de l'armée)

    ET une unité supplémentaire de janissaires :

    Ottomans 10 mm (suite de l'armée)


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  • J'avais promis à mon pote Mig une armée jouable sans trop tarder... sarcastic.

    Avec cette plaquette de commandement et cette unité de janissaires, on tourne autour des 1250 pts (médium army).

    Reste à bidouiller un scénario maintenant !!


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  • Artillerie ottomane.... Du lourd !!

     Pour mon armée ottomane, deux exemples de création de l'ingénieur hongrois, le sieur Orban, au service du Sultan.
    Ces exemples de belles pièces ont contribué à foutre par terre les belles murailles de Constantinople!

    La plus belle atteignait plus de 8 m de long, avec un calibre de 75 cm et qui balance un boulet d'une 1/2 tonne à 1500m. Pas mal, non ??

    à cet ensemble, j'ajoute une unité de 11 tirailleurs Tufekcis.

     

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  • Deux unité supplémentaires 

    Les delis (c’est-à-dire, littéralement, les «Fous». Ils devaient ce nom à leur courage extraordinaire et à leur témérité. Ils n’hésitaient pas en effet à lancer des charges d’une violence inouïe contre un ennemi souvent supérieur en nombre).

    Les Akingis(unité irrégulière de cavalerie légère, faisant office d'éclaireur ou troupe de première ligne de l'armée ottomane).

    Ottomans :cavalerie suite

    Ottomans :cavalerie suite

    Ottomans :cavalerie suite


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  • Deux unités de "Tufekcis" pour continuer ce début d'armée:

    Tercios : armée ottomane (suite) :

    Tercios : armée ottomane (suite) :

     

     

     

    Tercios : armée ottomane (suite) :

    Ces unités étaient souvent rassemblées en petits détachements , presqu'en tirailleurs. Certains étaient aussi postés en garnisons.


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