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Je continue, tranquille, la peinture de mes Britishs WW achetés à Crisis.
Comme l'idée est de tester plusieurs règles, je n'ai pas encore finalisé e soclage qui reste en "individuel pour le moment.
Basé sur le scénario d'introduction de la règle "Rapid Fire " reloaded, voici le QG du 10th Highland Light Infantry.
Rem: pas encore de marquages ni de "salissures" sur le Bren Carrier.
Avec un Piat et un mortier de 2"
Et la A Company
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Je me suis lâché un peu avec l'ami Mr Poum du Forum Operation Zero lors de notre visite à Crisis, il y a 10 jours.
Le but était de se fournir en 15mm WW2 pour tester quelques règles (Rapid Fire, Iron Cross...).
J'ai fait un premier test sur un fantassin britannique de chez Plastic Soldier Company. Voici- le résultat :
Qu'en pensez-vous ?
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Une production 10mm que je devais finir et socler.
Une unité d'infanterie française relativement "classique". Pour ceux qui me connaissent un peu, j'aime varier les figurines dans ce type d'unité en mélangeant par exemple les unités en capote et celles plus en uniforme.
Figurines "Magister Militum":
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Dans mes tiroirs, j'avais aussi, déjà sous-couché, ce bâtiment de BattleScale disponible chez Pendraken.
Je n'y ai pas passé trop de temps même j'aime bien le rendu :
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Quelques figurines peintes provenant de la montagne de plomb.
Je me suis bien amusé à trier, choisir, peindre et associer ces figurines provenant de différentes marques.
D'abord quelques marqueurs de tirailleurs
Et ensuite une unité d'infanterie française plutôt orientée "Campagne d'Espagne" :
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Certains diront que c'était prémédité et bien pas du tout .
En effet, une fois les vacances réservées, il est courant que je fasse une exploration des visites possibles liées à ma passion pour l'Histoire en général.
Cette année, notre point de chute était l'Espagne et je n'avais commencé à regarder à ça que quelques jours avant notre départ.
Que pouvait-on trouver à Salamanque et autour ??? Pas bien perspicace le Claudius sur ce coup car c'était pourtant assez évident : la bataille de Salamanque, appelée aussi "Bataille des Arapiles".
La bataille des Arapiles – plus souvent connue à l'étranger sous le nom de bataille de Salamanque – est une sévère défaite infligée par le général Wellington au maréchal Marmont, et qui porte un coup décisif à l'intervention française en Espagne.
Au début de l'hiver 1811-1812, Wellington reprend l'offensive en s'emparant de la citadelle de Ciudad Rodrigo le 19 janvier 1812 et de la ville-forteresse de Badajoz le 6 avril 1812, en poussant les Français à la retraite vers l'Estrémadure.
Son incursion dans l'Espagne centrale est stoppée par l'armée du maréchal Marmont qui, par des marches rapides et des manœuvres sans pertes, maintient la pression sur les lignes d'approvisionnement britanniques. Wellington envisage finalement de se retirer au Portugal et les deux armées se rencontrent le 22 juillet 1812.
Apercevant un nuage de poussière en début de journée, Marmont en déduit que l’armée alliée bat en retraite et qu’il en voit l’arrière-garde. Il projette de déplacer l’armée française vers le sud et ensuite vers l’ouest, pour contourner le flanc droit allié. Le maréchal Marmont fait erreur, car les Alliés ne se retirent pas vers l'ouest, mais attendent le moment propice pour les attaquer dans le sens nord-sud.
Interprétant mal les ordres de Marmont, le général Thomières évolua trop vers la gauche du dispositif français. Ce faisant, il créa un vide entre la gauche et le centre de l'armée de Marmont.
Faisant preuve d'une grande opportunité tactique, Wellington lança ses forces dans l'espace ouvert afin de scinder en deux l'armée française.
Malgré quelques essais de contre-attaques et de rétablissement de situation, la bataille tourna très vite au désavantage des français,le maréchal français fut rapidement blessé et remplacé par son second, le général Bonnet. Ce dernier étant également atteint, ce fut le général Clauzel, troisième officier en grade et en ancienneté, qui prit la tête de l'armée française.
Evitant le désastre majeur, Clauzel parvint finalement à se replier en bon ordre, couvert par la division Foy.
Wellington aurait peut être pu capturer l'ensemble de l'armée française car ayant envoyé un détachement espagnol prendre le contrôle d'un pont majeur sur l'axe de repli de l'ennemi. Hélas pour lui, pour une raison restée mystérieuse, les Espagnols abandonnèrent la garde du pont et les Français purent le franchir sans encombre...
Les pertes essuyées par les adversaires en présence furent relativement similaires : 5.000 tués, blessés et disparus dans chaque camp. Il n'empêche que l'armée de Marmont, forte de 40.000 hommes, fut irrémédiablement vaincue en moins de 40 minutes !
La défaite des Arapiles provoqua une agitation comparable à celle de Baylen en 1808.
Joseph en fut réduit à fuir Madrid tandis que les forces françaises abandonnèrent Valladolid pour chercher refuge derrière l'Ebre.
Nous avons fait la visite en free-lance car la formule "tout en un" avec un guide nous semblait quand même assez chère (139€ pour 2...). Cette visite fut très plaisante et le centre du visiteur, quoique assez petit est très bien achalandé. On peut y retrouver des pièces retrouvées sur le champ de bataille, des portraits des principaux protagonistes et un beau diorama rassemblant quelques milliers de figurines 15mm (principalement des Fantassin Miniaturas, Espagne oblige...
Une pièce renfermait aussi une phase de la bataille reconstituée en... playmobils customisés. Bien sympa !
Belle rencontre aussi avec un français vivant en Espagne depuis 25 ans et qui s'avérait être un peintre de figurines 28 mm qui s'occupait ici, d'une démo-atelier apprentissage :
La visite proprement dite du champ de bataille m'a fort impressionnée par le fait que les distances sont vraiment faibles entre les lignes de départ des deux armées. De plus, quand on voit par où les artilleurs ont du passer pour installer leurs pièces sur le grand Arapiles, j'en ai été assez scotché...
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Avec les plaquettes d'artillerie et celle d'Etat-major, je termine une première partie de ce projet peinture.
En effet, avec ça, je pourrai commencer à tester avec le français si j'ai un partenaire avec de l'allemand (non, non je ne pousse pas à la peinture... )
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Après une demande sur le forum Opération Zero, je poste ici une photo comparative d'une figurine "Great Escape Games" (à gauche)et une "Pendraken" (1870).
On voit clairement que les GEG sont plus des 12-13 mm et que ces deux fabricants sont difficilement mixables.
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Créés en 1837, ils constituent la plus ancienne subdivision de l'infanterie aprés les régiments de ligne. Aprés le conflit franco-prussien, le nombre de bataillons de chasseurs à pied est fixé à 30. En 1888 douze bataillons sont plus spécialement chargés d'opérer en région montagneuse. On les appellera plus simplement bataillons de chasseurs alpins, et leur l'équipement va se modifier pour tenir compte des spécificités du milieu montagnard .
D'autre part, les essais de bicyclettes ayant été concluant, les 2e, 4e, 9e, 18e et 25e bataillons de chasseurs à pied forment en 1903 une sixième compagnie dotée de la bicyclette pliante "Gérard". En 1913 est créé un 31° bataillon de chasseur à pied. Nous avons ainsi en 1914 19 bataillons de chasseurs à pied et 12 bataillons de chasseurs alpins. (cfr https://rosalielebel75.franceserv.com/chasseurs-a-pied.html)
Voici ma représentation de ce type d'unité :
Cette unité finalise la partie "infanterie du starter pack de Great Escape Game (voir cet article)
Pour ce projet, je vais m'attaquer maintenant à l'artillerie et à l'état-major.
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