• Revue des 18° 1/2 Brigades légères et de Bataille

    Toujours sous les ordres de "L'enfant chéri de la victoire" (dixit Bonaparte) voici la brigade formée par les deux 18°.

    La 18e demi-brigade d'infanterie de ligne a été formée lors du second amalgame (1796) par le 2e bataillon de la 45e demi-brigade, la 69e demi-brigade, de la 211e demi-brigade (de premier amalgame) et la 5e demi-brigade provisoire et de la 6e demi-brigade provisoire.

    • Chef de Brigade : Fugières (Jean-Urbain) 
    • Combats : -1796: Dego, à Lonato, Castiglione, Saint-Georges, Caldiero, Arcole et Tarvis 

                             -1797: Rivoli 

    18°DBlig01

    La 18e demi-brigade légère de deuxième formation a été formée en 1796 (arrêté du 18 nivôse an IV) des unités suivantes :
         - 3e bataillon de la 180e demi-brigade de première formation ;
         - 200e demi-brigade de première formation 
         - 12e demi-brigade provisoire.

     - Chef- de-Brigade : (?) Videl 

     - Combats : 1796: Corona, Lonato, Castiglione, Roveredo, La Favorite, Caldiero, et Arcole 

    18°DBlég01 18°DBlég02

    Et les deux ensembles :

    18°DBlég+18

    L'infanterie de la division Masséna avec son appui d'artillerie :

    Masséna Art + Inf

    Art Masséna01 Art Masséna02

    Allez... On continue !

     

     

     

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  • Commentaires

    1
    Apa
    Samedi 28 Janvier 2012 à 12:17
    Apa
    hello,
    je trouve ça très chouette et, mine de rien, très original. C'est bête qu'on ne voit pas plus de troupes de l'époque révolutionnaire. L'Empire l'a un peu éclipsée, je pense.

    Beau soclage aussi :)

    Question : est-ce qu'il y avait encore des uniformes blancs en 96 ou c'est que les figurines étaient peintes comme ça pour ton projet précédent (sur Fleurus ou Jemmapes, je crois?)
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    2
    Samedi 28 Janvier 2012 à 14:28
    ESMBEL

    Merci pour les compliments ! C'est vrai que c'et le côté original et un peu "inexploité qui m'attires!

    Pour les uniformes blancs, je peux te citer un témoignage d'un ancien de la 32° :

    "La pénurie fait qu'après avoir usé les habits blancs de l'ancien régime, on voit certains soldats portés des vestes et des habits de coutils parfois même rayés de rose...enfiler même des pièces d'uniformes sardes, piémontais ou autrichiens... une cocarde tricolore était indispensable, seul moyen de se faire reconnaitre comme français..."

    Maintenant, à la lumière de ce genre de témoignage, je n'ai pas eu de scrupules à reprendre mes anciennes figurines du "projet Fleurus", tu as raison !

     

    A+

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